Suite à la disparition d’Alphonse Tierou, dans la nuit du 10 au 11 août 2021, la presse, ainsi que des journalistes et des personnalités, et ses élèves, ont rendu hommage à cet homme de culture, chercheur, chorégraphe, écrivain, qui a consacré sa vie aux arts d’Afrique, à la danse en particulier.
Un article paru notamment dans afrik.com revient sur ses travaux et sur la suite qui leur est donnée par l’association Dooplé Danse :
« Décès d’Alphonse Tierou, chercheur-chorégraphe, initiateur d’une nouvelle vision de l’art africain ».
Le départ de ce « grand théoricien de la danse africaine » est une « énorme perte pour la danse ivoirienne », selon le journaliste ivoirien Franck-Harding M’Bra.
« La culture a perdu un grand homme », estime le magazine Amina.
« Alphonse Tierou est décédé mais demeure vivant par l’héritage qu’il nous lègue », relève le critique littéraire et professeur de lettres, Zacharie Acafou.
Lors des funérailles d’Alphonse Tierou, un discours a été prononcé au nom de Denise Houphouët-Boigny, ambassadeur de la Délégation permanente de Côte d’Ivoire auprès de l’UNESCO, par Kouadio Nanan Kouassi, Premier conseiller.
Enfin, un hommage dansé et chanté a été rendu par ses élèves qui ont interprété une création chorégraphique conçue par l’association Dooplé Danse selon la méthode Alphonse Tierou.
La vie continue. Et comme le disait Alphonse Tierou, « la danse africaine, c’est la vie ». Les cours de danse Dooplé Méthode Tierou continuent à se tenir à Paris, au son des percussions live, et à procurer joie et bien-être à ceux qui les pratiquent, tout en faisant honneur aux cultures d’Afrique et à la création artistique.